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The Vegetal City

The Evolution of a street from 1850 to 2150…

This is the creative research from Luc Schuiten, Architect in Brussels.
The Luc Schuiten’s exhibition is being held in Brussels from April 3 to August 30, 2009 at the « Musée du Cinquantenaire ».

The concept of ARCHIBORESCENCE

« The beginning of the millennium is characterized by a growing awareness of the importance of the climatic changes on our future. From all sides, the scientists ring the alarm bell. UNESCO, Giec, the international summits of Rio, Johannesburg and Bali anticipate the worst for the coming century if we do not change our behaviour radically.

The message is carried out daily by the media. It turns out that the autorities and decision maker’s plans are inadequate to effectively stop the emergency of this already urgent matter. The purpose of « Vegetal City » is to demonstrate that a long lasting and bright future is possible for the planet, through an innovative process.

This life to come has to be considered like an attempt of reconcialiation and cooperation with nature, in order to enable us to live together in a balanced harmony.

The website Vegetal City is conceived as a progression in time and space, through Luc Schuiten’s eye. It takes us on the path of this thoughts about Mother Nature’s presence as a model of a new way of building named by him « archiborescence ».

For three decades, this eco-visionary has been imagining and realizing homes, urban landscapes, cities… inspired by all he has been able to observe in natural environments.

The website opens the door to a harmonious future, possible through the modifications of our behaviours in our living environments. Nature is no longer considered as an inexhaustible manna from heaven but rather as an ally, likely to cooperate in edification of a long lasting society. »

Source:

Luc Schuiten

http://vegetalcity.net/concept.html

http://www.archiborescence.net/

C’est notre terre! A découvrir

J’ai visité, hier après-midi, l’exposition « C’est notre terre » à Bruxelles. Cette exposition qui se déroule à Tour & Taxis depuis Octobre 2008 (et jusqu’au 10 Mai 2009) est la plus grande jamais réalisée en Europe sur la thématique du Développement Durable.

Au programme, créations artistiques, interviews, parcours sensoriels, films, photographies et informations diverses:

Combien je mange par rapport à une famille équatorienne? Combien d’eau je consomme par rapport à une famille africaine? Combien d’énergie est consommée pour que je puisse manger un ananas mexicain ou de la viande? Saviez-vous par exemple qu’une des plus grandes pollutions atmosphériques est provoquée par le méthane émis par les vaches d’élevages, qui en plus consomment 3 à 10 fois plus de protéines qu’elles n’en fournissent? Et encore combien de voitures possédons-nous? Quelle est la croissance démographique mondiale? Après quoi courrons-nous chaque jour? Combien de planètes « terre » avons-nous besoin pour satisfaire les besoins énergétiques actuels?…

Beaucoup de questions dont les réponses sont évidemment proposées durant tout le parcours. Cette exposition ne se veut ni alarmiste, ni culpabilisante et je dirais, bien au contraire, elle est po-si-ti-ve. Des solutions sont suggérées, des portes sont ouvertes, et le plus formidable est le constat que les cartes sont entre nos mains, nous avons le contrôle de la situation. Nous avons le pouvoir de décider et d’agir, ici et maintenant. Nous pouvons changer la situation. Et si ce n’est pour nous… pourquoi ne pas le faire pour les suivants?

Plus d’info: http://www.expo-terra.be

Alex Pavy

Ecofont, une nouvelle police d’impression, économique et écologique!

A chaque document imprimé, on ne consomme pas seulement du papier mais aussi de l’encre. SPRANQ creative communication, une web agency batave, a trouvé une solution pour prolonger nettement la durée de vie de vos cartouches: Ecofont. Une nouvelle police d’impression, économique et écologique!

pavy-ecofont

Plus d’infos sur: http://www.ecofont.eu

Some perspective: Scaling the universe!

The complete range of scale between the largest and smallest objects in the cosmos is truly astronomical.

The observable universe is 100 million billion billion times bigger than a human,

while humans are a million billion times larger than a proton in the nucleus of an atom.

Pourquoi une communication plus « verte »?

L’environnement est aujourd’hui sur toutes les lèvres et à toutes les sauces. De nombreuses initiatives voient le jour. Certaines sont initiées par des leaders charismatiques come Al Gore ou Nicolas Hulot, d’autres, nombreuses et toutes aussi importantes, sont lancées par des particuliers, entreprises et institutions. Que ce soit dans l’industrie automobile, dans le monde de l’énergie, du bâtiment, dans l’alimentaire, la santé chacun contribue en apportant sa pierre à ce nouvel édifice.

Et “nous”, gens de la communication d’entreprise, aussi bien du côté de l’annonceur que du côté des agences et des prestataires de services…

Que pouvons-nous faire?
Comment pouvons-nous contribuer à cet élan environnemental?

Et pourquoi?


Parce que nous sommes des citoyens “responsables”. Nos métiers respectifs et nos actions quotidiennes ont des conséquences fortes à un niveau sociétal, pouvant ouvrir certaines voies et entraîner un effet systémique, pour le bien-être de notre planète.


Parce que nous sommes aussi des gens du “business” et une communication plus verte a un double avantage:

1) Bien gérée, elle peut être bénéfique pour notre “image”.
Oui, c’est clair, la thématique environnementale est indispensable et beaucoup plus qu’un “effet de mode”. Du point de vue du marketing et de la communication d’entreprise, une approche plus verte constitue aujourd’hui un véritable avantage. Cette communication plus écologique nous donne “l’image” d’un acteur conscient des besoins et réalités de notre société, engagé, humain, flexible et capable de relever les nouveaux défis. Il est clair qu’il s’agit ici d’un levier Marketing à exploiter, à la seule condition que l’entreprise possède une réelle vision écologique et entreprenne des actions concrètes dans cette direction. On pourra alors parler d’une stratégie de marketing écologique où l’environnement devient une “opportunité” sur le marché.

2) Elle peut être plus économique.
En effet certaines actions peuvent entraîner des économies conséquentes, en particulier sur la thématique du gaspillage…

Suite voir notre billet « Comment communiquer de manière plus verte » (1)?

(Source: Alex Pavy)

Comment communiquer de manière plus « verte »? (1)

1- Recyclons. Evidence totale mais … qui pratique le simple tri sélectif proposé par notre gouvernement (sacs bleu, jaune, vert, blanc)? A la maison comme sur le lieu de travail? Votre entreprise a t-elle prévue des procédures de triage des déchets journaliers… (papier, cannette, aliment,…), non liées à l’activité de production elle-même. C’est ici encore une toute autre question!

2- Utilisons des papiers recyclés et/ou certifiés FSC et PEFC issus de la gestion forestière durable. De nombreuses possibilités et offres de papiers existent aujourd’hui. Leur qualité est à la hausse et leur prix tend à diminuer. Même s’il est encore un peu plus cher qu’un papier ordinaire. Ces “labels” peuvent bien-sûr être apposés sur les documents imprimés, ce qui nous permet de “faire savoir” notre engagement…

3- Soyons précis dans les quantités des documents de communication que nous imprimons (brochure, catalogue, Newsletter,…), cela nous évitera de devoir jeter une grande partie. Est-ce le cas dans votre entreprise? Evidemment, beaucoup se disent que le coût unitaire diminue quand la quantité imprimée augmente… c’est vrai et c’est tentant d’en produire plus… Encore plus quand on sait que réimprimer un document par manque de stock entraîne un sur-coût économique et donc écologique (nouvelle commande, mise en route machine, feuille de passe, encre,..). Il s’agit donc ici de tenter de déterminer précisément le nombre d’imprimés qu’il est nécessaire de produire.

4- Groupons les documents à imprimer. Si nous devons imprimer une carte de visite pour un nouvel employé, vérifions s’il n’est pas nécessaire d’en réimprimer pour d’autres employés à bout de leur stock. Cela évitera de commander “une” carte tous les 15 jours.

5- Evitons de “dater” les documents qui n’en ont pas la nécessité (brochure, leaflet,…). En effet bien que le contenu du message ou de l’offre soit le même, le simple fait de voir  une date antérieure (l’année passée) donne l’impression que le document est dépassé. Conscient de cela, de nombreuses entreprises jettent le stock et réimpriment du neuf, alors qu’il suffisait de ne pas mettre de date ;-).

6- Qualifions nos bases de données. Le direct mailing est un outil puissant de communication. Mais quand X% des mails, soit nous reviennent car l’adresse était mauvaise, soit ne sont pas ouverts pour cause de mauvais ciblage, c’est X% de gaspillage économique et écologique! (imprimerie, routage, frais postaux!!). A combien s’élève votre %?

7- Choisissons un imprimeur qui travaille en CTP (computer-to-plate). Cela évitera l’utilisation de films et leurs développements chimiques et … en plus donnera un meilleur rendu sur les imprimés.

8- Au moment de la conception d’un document imprimé, trouvons le juste équilibre entre l’impact de la communication visuelle et la nécessité du nombre de pages à réaliser. Si nous pouvons réaliser une brochure de 36 pages en 32 pages… pourquoi pas? Dans le cas de la conception d’un papier à lettre, certain design contemporain propose par exemple de grandes zones blanches non utilisées. Ainsi même si c’est « esthétique », il faut être conscient que nous aurons peut-être besoin de 20 pages au lieu de 16 pour imprimer un rapport. En multipliant ces 20 pages par X dossiers annuels par Y employés…faites le compte!

9- Les créatifs aiment aussi les grands aplats de couleurs (grand consommateur d’encre) ou encore les effets spéciaux (pelliculage, dorure,…) qui soit rendent plus difficiles la  recyclabilité des documents, soit utilisent beaucoup de produits chimiques. Soyons-en conscients!

10- Les papiers de “bureau” font en général du 80gr/m2 (imprimante de bureau, photocopieuse, fax). Ils peuvent aussi être remplacés par du papier recyclé ou ayant un label vert (FSC, PEFC,…). Et en utilisant un papier ne faisant que 70 ou 75gr/m2 au lieu de 80gr/m2, cela peut aussi constituer une économie de coût, voire de place de stockage.

11) Choisissez une police d’impression « écologique », c’est-à-dire qui consomme moins d’encre. Pour en savoir plus découvrez notre billet : « Ecofont, une nouvelle police d’impression, économique et écologique! »

Cherish our planet !

Nous y sommes

Nous y voilà, nous y sommes.
Depuis cinquante ans que cette tourmente menace dans les hauts-fourneaux de l’incurie de l’humanité, nous y sommes. Dans le mur, au bord du gouffre, comme seul l’homme sait le faire avec brio, qui ne perçoit la réalité que lorsqu’elle lui fait mal. Telle notre bonne vieille cigale à qui nous prêtons nos qualités d’insouciance. Nous avons chanté, dansé. Quand je dis « nous », entendons un quart de l’humanité tandis que le reste était à la peine. Nous avons construit la vie meilleure, nous avons jeté nos pesticides à l’eau, nos fumées dans l’air, nous avons conduit trois voitures, nous avons vidé les mines, nous avons mangé des fraises du bout monde, nous avons voyagé en tous sens, nous avons éclairé les nuits, nous avons chaussé des tennis qui clignotent quand on marche, nous avons grossi, nous avons mouillé le désert, acidifié la pluie, créé des clones, franchement on peut dire qu’on s’est bien amusés. On a réussi des trucs carrément épatants, très difficiles, comme faire… Continuer la lecture de ce texte