Trouver sa voie ou comment donner plus de sens à sa vie, dans son travail

Une philosophie : l’ikigaï consiste à donner un sens à sa vie en trouvant un équilibre entre ce qu’on aime, ce dont on a besoin et ce qui est utile au monde. « Iki » signifie vie et « gaï » se rapporte à la réalisation de ce qu’on espère ; il s’agit de se sentir où l’on doit être, aligné avec soi. Ce concept japonais qui remonte au XIVe siècle expliquerait notamment l’extraordinaire longévité des habitants de l’île d’Okinawa. Leur secret ? Trouver une bonne raison de se lever le matin pour donner un sens à sa vie. C’est pourquoi ils ne cessent jamais vraiment de travailler. L’ikigaï est ainsi une méthode intéressante pour ceux qui souhaitent atteindre un meilleur équilibre entre vie professionnelle et vie personnelle, et mettre du sens dans leur travail. (source: Edhec)

Are you an ideal team player?

Ted: « Patrick Lencioni thinks it is time to change the way we prepare people for success. Drawing from his book, The Ideal Team Player, Lencioni makes the compelling case that the key to success in an increasingly team-oriented world is being humble, hungry and smart. Whether you’re a CEO or a 7th grader, focusing on these deceptively simple virtues can radically improve your personal and professional effectiveness and fulfillment ».

Régénération …

L’environnement et le corps ne sont en réalité qu’un seul système: un système intégré. En moins d’un an, nous recyclons 98% de toute la matière de notre corps. Et au niveau moléculaire atomique, nous avons un nouveau foie toutes les 6 semaines, une nouvelle peau tous les mois, notre corps se recycle constamment. Si l’écosystème est malade nous sommes malades. Et tout ce qui se passe dans notre corps est intégré: les pensées, les émotions, les interactions sociales, l’environnement.

Deepak Chopra, écrivain, médecin endocrinologue, chercheur

Casseurs de Cailloux

Trois hommes cassent des cailloux sur le bord de la route. Un passant s’approche du premier qui est voûté, triste, le regard éteint, le geste mou.
– Que fais-tu?
– Ben, ça se voit non? Je casse des cailloux.
– Pourquoi?
– Faut bien, c’est le seul boulot que j’ai trouvé.

Au deuxième, mâchoire serrée, regard dur, geste précis, rapide, musclé:
– Que fais-tu?
– Je travaille.
– Pourquoi?
– Écoute, pour rester le meilleur, je dois casser 5% de cailloux de plus qu’hier, alors ne me dérange pas avec tes questions stupides.

Le troisième, doux sourire, des étoiles dans les yeux, semble caresser les cailloux en les cassant d’un geste sûr et régulier.
– Que fais-tu?
– Je bâtis une cathédrale…